Vert, tu es la couleur paisible qui nous embaume. Verre, tu es le compagnon qui nous guide sur les routes d‘un bonheur éphémère. Vertu, tu es l’oubliée de nos cœurs. N’en veux pas à l’adolescence, elle n’a pas de place pour toi dans sa quête du romanesque. Vertu, tu n’es pas pittoresque. Ne verse pas de larmes, nous te retrouverons dans quelques décennies. Tout n’est pas perdu. Le diable finira par s’évaporer, quand les épines de la rose n’auront plus d’attrait.
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