jeudi 13 décembre 2007

samedi 8 décembre 2007

LTBFORYOU.

"Je peux vivre sans toi, être heureuse par moi même,
Mais tu m'apportes tant,
Me donnant l'impression que tu es le seul qui compte.
Que fais tu, à briser autant de coeurs ?
Que dirais tu pour nous ? Je ne tomberai pas dans le piège.
Ralentis, autant bien faire, et faire durer, commençons maintenant.
As tu de l'amour à offrir ? Des baisers en réserve ?
Ne voudrais tu pas t'accrocher à quelque chose de vrai, et ne jamais le perdre ?"
.
.
Merci Dorine de me l'avoir envoyée.

jeudi 6 décembre 2007

SHAMELESSHOME.




BECAUSE I JUST CAN'T WAIT FOR YOU TO WASTE MY TIME.
[En construction]
You want a piece of me ?

samedi 1 décembre 2007

DON'TYOUDARE.




Il arrive qu'on veuille exprimer des choses, mais qu'on ne parvienne pas à le faire. Et c'est exactement le cas ce soir. Simple manque d'inspiration ou bien les émotions sont elles trop particulières et indescriptibles ? Seul Dieu le sait, mais ce qui est sûr, c'est que je n'y aurais jamais cru. Pourquoi est ce que chacune de tes paroles me saisit violemment, profondément et éternellement ? Pourquoi est ce que ton regard quand tu le fixes me trouble comme s'il m'était destiné, alors qu'en réalité ce n'est que la caméra que tu vises ? Pourquoi est ce que chacune de tes répliques demeure en moi comme une vérité indivisible ? Dis moi, serait-ce trop fort de dire que...

dimanche 25 novembre 2007

NON, MERCI.




Depuis hier je l'écoute en boucle, je n'écoute que ça, j'ai même pleuré en l'entendant pour la première fois. Je voulais, encore une fois, vous mettre les paroles de cette chanson ici, pour que vous aussi vous puissiez en apprécier la beauté, si beauté il y a. Mais se faisant, m'imprégnant des mots, les laissant courir sur la page, j'ai réalisé à quel point j'étais sotte. Aucune utilité, aucun soupçon d'espoir ne me reste, il faut doucement ouvrir les yeux devant une lumière aveuglante et sous les coups. Et trouver le nouveau monde. Conquérir un nouvel empire, si l'on n'avait pas sa place dans le précédent.

samedi 24 novembre 2007

LEBLEUBLEUCIEL.

And finally, everything was fine.

vendredi 16 novembre 2007

INVITATION&PORTEQUICLAQUE.




Comme deux étrangers dans la nuit à la recherche d'un abri, d'un coin pour la nuit, avançant pas à pas, méticuleux, effrayés, abandonnés, enfants de la Terre, deux adolescentes aux yeux écarquillés, sans aucun soucis pour la bienséance, aux espoirs endormis.
La Tour Eiffel brille de mille et un feux, les cheveux virevoltent au son de la basse, les chiens tendent l'oreille au son du clairon, les coeurs s'agitent au son de l'amour. Il ferme les yeux, elle tend la main, des soupirs qui s'échappent, des rires qui éclatent, des larmes qui ébranlent, des sourires résignés.
Les ingrédients de nos vies,
Des bribes, des passages, des clins d'oeils. Parfois ces clins d'oeils durent plus longtemps que prévu, mais l'oeil, doit bien un jour, relâcher la pression. Je ne t'en veux pas. Oublie moi.

jeudi 15 novembre 2007

ECARTELESJAMBES.

Néo, néo d; ta génération en rupture d'idéal, ta soif d'illusions, tes tourbillons éreintants, tes outrages folkloriques... Tu as brisé tes chaînes en pâte à modeler pour courir vers les champs de néons.

samedi 10 novembre 2007

JET'AIME.




Laisse la coupe de champagne se renverser sur le tapis persan. N'ai pas peur d'ouvrir grand les fenêtres au risque que l'on se congèle. Ne crains pas d'enflammer les rideaux, création d'un berceau de feu, un enfer sur Terre. Recouvrir les murs de confiture de fraise, tout lécher, et puis beurrer le sol pour danser le moon-walk plus aisément. Et transformer la salle de bain en parc aquatique. Puis au terme de nombreuses réjouissances, je pourrai bien enfiler une magnifique robe blanche de mariage, un voile assorti, des escarpins féeriques, et m'envoler dans un Paris assombri par le manque d'amour, jusqu'à m'écraser dans le brouillard des citadins pressés.
Perdre la raison, perdre ses raisons, ne plus parler d'intelligence ou de culture, simplement se laisser aller à la bêtise, à la décadence, aux horreurs de la folie, découper ses cheveux et écrire son nom sur le plafond, tout en riant des malheurs annoncés par la télévision. Monter le son au maximum, et mourir dans un bordel infernal...

vendredi 9 novembre 2007

NESTLE_CEREALESCOMPLETES

"Les voeux ne peuvent pas tous se réaliser,
Il y a des sentiments qu'il vaut mieux taire,
Parfois ce qu'on croit amour n'en est pas vraiment,
Je garderai le souvenir de tout ce que j'ai eu de toi,
Et cela suffit,
C'est nous."

[A suivre].

mardi 6 novembre 2007

L'ARTD'OUBLIER.

Perdue dans ton monde parallèle, il est impossible de croire à de telles inepties. Un cauchemar dans lequel tu t'es enfoncée à pieds joints, éclaboussant ton image de boue, recouvrant d'un parfum nauséabond toute ton histoire. Je ne pourrai pas te laisser filer tant que j'y croirai encore, tant qu'il restera une once d'espoir en mon fort intérieur. Tant que la flamme ne se sera pas entièrement éteinte. J'ai confiance en l'avenir, je n'ai pas confiance en toi, et encore moins en ceux qui t'entourent. Mais Dieu est là, la chance aussi, les étoiles ne font pas défauts, et pas à pas, peu à peu, tu remonteras la pente. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Et mon tee shirt le suggère parfaitement.

dimanche 4 novembre 2007

TWO AGAINST THE WORLD.



Je verse une larme à chaque chanson que j'écoute, à chaque son douloureux émanant des lèvres de ces artistes improbables, à chaque grattement de leur guitare essouflée, à chacun de leur cil qui bat. Dans toute cette confusion, ce mélange de peur et d'amour, je cherche une quelconque raison pour être femme, pour être fille, ou ne serait ce qu'humaine. Engloutie dans un cocon glacé et étouffant à la fois, je me perds dans des contradictions futiles, dans des questionnements sur un futur proche ou éloigné. Je me demande quel est mon nom et qui je suis. Et surtout, pourquoi je t'aime.

mercredi 31 octobre 2007

OMS.



You are so beautiful to me.

On en rediscute plus tard.

mardi 30 octobre 2007

CRAZYONYOU.




Dix articles supprimés exactement. Pas un de plus, pas un de moins. Ils ont tous dû venir se loger dans mon cou, le faisant tripler de volume, et leur essence est remontée jusqu'au seuil de mon cerveau, car à présent je ne pense plus à rien d'autre qu'à ces deux types de douleurs qui gâchent mes journées, mes nuits, et mes aubes.
Je me cache derrière mon keffieh, témoin de mes attentes, mes espoirs, mes maux. Mes yeux se ferment tout seuls, pourtant je passe plus de la moitié de mon temps allongée dans mon lit, à dormir, ou du moins à essayer. Et lorsque je tousse, c'est tout un quartier populaire qui m'assaille de bombes lacrimogènes internes.

dimanche 28 octobre 2007

LEAVEMEPLEASE, BUT YOU'RE ALREADY FAR...

Des frissons me parcourent le corps, et pourtant j'ai très chaud en même temps, mes cheveux me collent aux tempes, je crois être fièvreuse_je le suis, je ne contrôle plus mes yeux rouges, chaque son qui sort de ma bouche est un supplice, ce sentiment de gonfler... Non, je ne suis pas en boîte, non, je ne suis pas en compagnie du magnifique jeune homme qui était au café hier, non, je suis juste excessivement malade... Je vous prie de ne pas me regarder, de peur de vous décomposer devant l'horreur des faits...

mardi 16 octobre 2007

&THE VERT.

Retrouve moi à la terrasse du café sombre et abandonné, aux murs délabrés, recroquevillée sur moi-même, les mains glacées, soufflant les airs passés, murmurant les mots enchantés et essayant de pleurer. Mes pieds seront congelés dans mes bottines noires, mon pull en laine gris pour me réchauffer, et mes cheveux décoiffés feront corps avec le vent, qui m'embrassera de sa froideur et de son mépris. Les affiches décomposées tomberont au sol, se frottant contre le béton d'une banlieue écartée. Alors, tu t'assieras à la table d'à côté, feuilletant un vieux journal jauni, sans un mot dire, sans un regard. Puis un trompettiste jouera un air de jazz pour engourdir notre misère.

dimanche 14 octobre 2007

43RUEDECHAILLOT.



Under your spell, I wanna be under your touch... [dear hood].
Lueur du passé, pour reconstruire l'avenir.
Mon amour, mon amour... Je serai tienne à nouveau.

samedi 6 octobre 2007

SMDBWITHLOVE

"Soraya, attends faut vraiment que j'enlève mon pantalon là".
[BIG ORGUS].
Un oeil s'ouvre, l'autre se résigne. "Allo ?"
Frustrée ? Jamais...

jeudi 27 septembre 2007

C'ETAIT VOUS MON REVE




Mon très cher Morphée, j'aimerais que tu saches à quel point je suis désolée du fait que nous ne nous voyons que peu souvent en ce moment. Ne crois pas que c'est contre toi, au contraire, c'est la vie qui me réclame. Mais mes pensées se dirigent souvent vers toi, notamment en ce moment. J'aime m'abandonner dans tes bras, je ne saurais me passer de cette sécurité et de ce bien-être. L'université commence dans quelques jours, alors je viendrai te dire bonsoir plus régulièrement, ponctuellement, à toi mon ami fidèle qui je le sais, ou du moins je l'espère, ne me faussera jamais compagnie.


Le printemps un jour ranimera l'amour.
Si seulement...

samedi 22 septembre 2007

SHIVERINSIDE

J'aimerais m'excuser auprès de toutes les personnes que j'ai pu peiner dans ma vie, ou que j'ai pu décevoir pour une raison ou une autre. C'est avec toute ma sincérité que je vous prie de bien vouloir, non pas oublier, mais ne plus me tenir compte de mes erreurs passées. La vie est expérimentale, paraît-il, alors j'avance, je recule, je me trompe, je crois, je doute, et je me rétracte. Il en va ainsi, et autant vous prévenir, je ne crois pas que cela changera de si tôt. Je suis moi, influençable et perdue dans des océans de questions et de réflexions. J'espère grandir un jour, et arrêter d'avoir peur de tout, mais ce jour n'a pas encore pointé le bout de son nez... En attendant, je regarde le temps passer.
"Focaliser sur ces instants de bonheur, ces bonnes nouvelles qui vous font oublier pour un moment l'inimportance de la vie."

vendredi 21 septembre 2007

mercredi 19 septembre 2007

SADCAFE&E V E R Y T H I N G




Le foulard que Maman a laissé traîné sur la chaise me caresse le dos. Mes cheveux chatouillent ma peau, et j'ai enlevé ma bague car elle me serrait trop le doigt. Je vis dans l'attente. Dans l'attente d'un signe, d'un souffle, d'une larme sensée... J'essaye de comprendre les événements, les raisons, et pourquoi Dieu amène telle ou telle chose de sorte à ce qu'il y ait toujours des complications. Serait-ce sa méthode à lui pour m'éloigner de l'ennui ? "Soraya tu vas galérer ma pauvre fille". Offrez moi un murmure de charme, et un bout d'honnêteté. C'est tout ce à quoi j'aspire... Je mens.

FG. [RIEN A VOIR]

"How do you work with your actors ? What do you tell them ?
- I don't like to tell them what to do.
- Some say your work is pornographic.
- Oh yeah ?________Isn't that great ?

mardi 18 septembre 2007

STRANGERS IN THE__NIGHT.




Quand je repense à toi, c'est ton sweat rouge H&M que toutes les filles en vogue avaient à ce moment là qui revient en premier dans mon esprit. Et tes cheveux aux reflets violets. Quel mélange de couleurs détonant !
Aujourd'hui, les étoiles sont tombées du ciel et reprennent leur place en boitant, mais avec une certaine curiosité et beaucoup de précautions. Les choses changent, les problèmes s'estompent et d'autres reviennent, toujours plus vifs et violents. On se dispute, pour ceci, pour cela, tu abuses, avec ceci, avec cela, je cache mes émotions, à propos de ceci, à propos de cela, faussant toutes les routes que tu prends. Mais ton sourire lui, restera en place éternellement, ça j'en suis certaine, et c'est cela qui me fait croire en nous.

lundi 17 septembre 2007

THE MOST OF IT

La vida es difícil, niños. Mientras que los Strokes se hacen criticar de cabo a rabo por el redactor de Technikart y mientras que yo leo noticias, gafas de sol sobre la proa para enmascarar mis cercos, en la galería de mi padre, chiquillos mueren de hambre o mueren de aburrimiento. Yo pienso que la solución esta de embarcar todo este bello pequeño mundo en Les Planches o en El Metropolis, y que en un arranque de felicidad, se decide olvidarse, y sacar provecho simplemente de un placer instantáneo.

dimanche 16 septembre 2007

10EUROS.




"Comment dois-je m'y prendre
Pour expliquer à quel point
L'amour peut être délicieux parfois
La douce histoire d'amour
Qui est plus vieille que les océans
Qui chante tout le bonheur qu'elle m'apporte
Où puis-je commencer ?"

samedi 15 septembre 2007

MONAMOUR

SORRY ANGEL, SORRY SO.

LE__xXx__FASHION




Je l'aime vous voyez. Il en va ainsi et je n'y peux rien. Cela doit tenir à son nom follement décadant et électrisant. C'est cette force tecktonik qui réside en lui qui m'émeut. Les syllabes de son nom, ces consonances si parfumées soulèvent mon esprit et mon coeur. Peut être que les mots s'égarent, et les pensées aussi d'ailleurs, mais mes sentiments demeurent stables et jamais ils ne s'éteindront. Et darling, même si tu me trompes avec tout le Métropolis, tu resteras mon héros...

vendredi 14 septembre 2007

LA SORCIERE M'A MANGEE.





Moi je vous le dis, c'est de sa faute. C'est lui qui a commencé avec son nom venu de Saturne. Puis il dit qu'il ne comprend pas ce que j'écris, mais moi je vous le dis encore, c'est son imagination qui défaille. En plus, il prétend être un fantôme, mais depuis que Casper a été inculpé pour exhibition indécente, les fantômes préfèrent se cacher dans les égoûts du Marais. Et puis il demande des explications quant au polygame, pourtant tout est très clair, le polygame était un artiste doté d'un grand talent.


Au fait, il y avait beaucoup de bonbons ce soir.

mercredi 12 septembre 2007

J'EN APPRENDS TOUS LES JOURS AVEC TOI, MAIS J'AI ENLEVE TA FAUTE D'ORTHOGRAPHE A "TOUS".

"L'amour c'est ne jamais avoir à dire qu'on est désolé".
On se dicte mutuellement les règles de la maladresse et de la souffrance. Parce qu'on est probablement trop jeunes pour ajouter "maturité" et "raison" à notre dictionnaire. Et si on a mal, on veut que les autres aient mal avec nous. Ca serait trop désolant de les voir heureux. Alors, oh et puis non je n'ai pas envie d'en parler, tout semble si factice.

mardi 11 septembre 2007

LOSING__MYTOUCH




Ca doit être tellement cool d'être lesbienne.

SHAW

"Quelle belle chose la jeunesse ! Quel crime de la laisser gâcher par les jeunes !"

lundi 10 septembre 2007

ABC__XYZ





J'ai plus de difficulté à poster des messages quand j'écoute du rock que lorsque j'écoute de la musique pop, douce aux creux de mes oreilles. Alors, j'écoute "Baby boy", jolie ballade du nouvel album de Britney Spears, princesse reniée et envoyée aux enfers. Comment peut-on tomber aussi bas ? Un jour, être au sommet, ne pouvoir s'empêcher de sourire, avoir entre ses mains la recette du bonheur, et puis le lendemain, se réveiller, perdue dans la forêt, encerclée par les loups affamés... La peur au ventre. La peur, qu'y a-t-il de pire que la peur ? Et si en un clin d'oeil, en un mot, en un regard tout pouvait basculer, et faire de nous des personnes déroutées ne vivant que dans l'espoir d'un passé retrouvé.

dimanche 9 septembre 2007

GULLIVER ET ANASTASIA




Ecrire son prénom sur le haut de nos cuisses et sur nos sous-vêtements, et faire son portrait les yeux fermés, le coeur ouvert. Imaginer les ondulations de ses cheveux, ou bien la raideur, je ne sais plus. Penser à ses foutus yeux marron. Ou vert, ou jaune. Piocher dans les Frosties et se demander si Tony Parker et Tony le tigre ont couché ensemble après la séance photo organisée pour la boîte de céréales.

Au final, je me demande si me déguiser en grain de riz n'affinerait pas ma silhouette, avec un pardessus en billet de 500 euros. On the other side, on the other side...

samedi 8 septembre 2007

WEUSEDTOBEFRIENDS




"Parce que de toute évidence,
On ne joue pas dans la même catégorie,
Je perds mon temps,
Je ne l'aurai jamais,
Et je ne serai jamais assez bien pour lui."

samedi 1 septembre 2007

7:32

"JE VOUS AI PRIS VOTRE TOQUE".
Mémorable.

OH LA FERME





Je modifie cet ancien message, car oui, mesdames, messieurs, et autres troisième sexe façon Erwan, je suis tourmentée. Les jours et les minutes passent, défilent sous nos yeux, sans qu'on ait le temps de les compter, et on veut pleurer, mais on n'y arrive pas, car si le traumastime est intellectuel, il ne parvient pas à se répercuter sur le plan physique. Alors, on attend, sans trop savoir quoi. Et on écoute "Speeding Cars", encore et encore. Et on cherche du réconfort sur MSN. Je suis une vraie no-life. Et on relit les tous premiers messages, puis on a envie de tout casser, de crier, de demander pourquoi, mais on se calme, et on fait tout pour oublier, enfin. Il y a des moments où j'aimerais cliquer sur la petite croix rouge en haut à droit pour effacer certaines choses...

mardi 28 août 2007

MAIS VIVE LE CYBER__CAFE

J'avais prévu plein de phrases. Des phrases qui sonnaient bien, faussement spirituelles, décalées et que je voulais vous déballer dès mon retour. Me revoilà, ordi pété, au cyber café et incapable de me refamiliariser avec le clavier français. La vie est mal faite. Vraiment.
"La vie, voyez vous, ça n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croit". Merci Rosalie.
Demain, je vais à la Prélude. Ne me méprisez pas.

lundi 30 juillet 2007

SIMS__ABRICOTS



Je m'en vais demain, ou plutôt tout à l'heure, vagabonder vers des horizons connus, ceux de mon intellect fertile et naïf. Un mois entier loin de Paris, loin de ma vie, loin de tout ce qui m'empêche de penser et de réfléchir... Un mois entier pour me retrouver, et retrouver l'empire chimérique que je possède. FANTASMES__IMPROBABLES. Je vais sûrement encore m'imaginer en pleine rave avec toutes les stars du rock, du r'n'b et de la politique. Vous me trouvez pathétique ? Sachez que je ne vous fais part que de ce qu'il y a de moins honteux...
Du sable chaud, de l'humidité, et la peau qui colle. Retour aux sources.


Au fait, j'ai appelé notre Mymy nationale "MON ANGE". Ruez moi de coups. Mais je l'aime.

PS: Si vous pensez à moi, pensez aussi à mon bas de maillot doré...

vendredi 27 juillet 2007

I LIKE IT, I LIKE IT.

"Qu'est ce que tu lis ?
- Le code de la route
- C'est bien comme histoire ?"

jeudi 26 juillet 2007

WHITEFLAG



"Il est des gens qui n'embrassent que des ombres; ceux-là n'ont que l'ombre du bonheur."


Il serait peut être temps de se laisser aller. Que JE me laisse aller. Mais j'ai toujours peur de traverser la rue...

mercredi 25 juillet 2007

YOU'RE MY WONDERWALL



Vous avez entre 17 et 19 ans et:
- vous êtes un bon compagnon de jeu
- vous aimez La Grande Récré et Nature&Découvertes
- vous n'avez pas de préjugés concernant la Tecktonik
- vous aimez lire et écrire
- vous aimez tous les genres de musique
- vous êtes capable du plus ridicule pour rire
- vous êtes dandy mais sans mépris pour les mirliflores
- vous êtes désinvolte et sérieux
- vous êtes cool et cultivé
- vous avez de la profondeur
- mais surtout de la PATIENCE
Alors, ben tant mieux pour vous.

mardi 24 juillet 2007

LIFEONMARS

Depuis que j'ai 15 ans, que je suis en classe de Seconde, je porte ce vieux morceau de tissu rouge autour du poignet, en guise de bracelet kabbalistique. Il est à présent tout défraîchi, abîmé, en piteux état.
Je ne peux savoir s'il a guidé mes pas jusqu'à ce jour, ou s'il n'a été que simple témoin de mes frasques et de mes réussites, mais j'y jette de furtifs et réguliers coups d'oeils, pour savoir s'il est toujours là ou s'il est sur le point de se rompre. Parfois, je prie pour qu'il se déchire et qu'il tombe enfin de mon poignet, que je sois libre, apaisée, que je puisse tout redémarrer. Mais à d'autres moments, je le vois, non pas comme un associé, mais comme un élément du décor, qui bien qu'envahissant et difficile d'entretien, est tout de même important.
Il arrive parfois que l'on se pose ce genre de questions, autre qu'à propos de bracelets kabbalistiques de contrefaçon achetés à Carrefour.

SALLY A DES VUES SUR JACK




Ca fait longtemps que je n'ai pas vu Papa.

lundi 23 juillet 2007

ON S'ENNUIE FERMEMENT.

APPRENDRE A ETRE ECLECTIQUE


Charles Dumont - Ta cigarette après l'amour
Pino Donaggio - Sally and Jack
Alain Silvestri - Forrest Gump theme song
The Rolling Stones - Streets of love
Arctic Monkeys - Fluorescent Adolescent
Bob Dylan - Lay lady lay
Rufus Wainwright - This love affair
Shirley Bassey - Love Story (Where do I begin ?)
Dave, Dee, Dozy, Beaky, Mick and Tich - Hold tight
Les hurlements d'Léo - Au café des jours heureux
Louise Attaque - J't'emmène au vent
Lionel Richie et Barbara Streisand - Endless love
Stevie Wonder - Isn't she lovely ?
Antonio et Cristiano - Dirty cash
Dj Fozzie Bear - What's new pussycat

DES PAROLES DANDYESQUES


Paris, Paris, ma ville grise et lumineuse dont les gouttes de pluie tapissent un sol bitumé. Je rêve d'un autre Juillet, d'arbres florissants et d'un ciel dégagé. Heureusement que je m'en vais bientôt, me retrouver, me ressourcer, brûler mes pieds sur le sable chaud. Charles Dumont, Serge Gainsbourg et Léonard Cohen comme compagnons auditif. 31/07.
Café, restau, boîte, ciné, shopping... C'est qu'on finit par s'en lasser, de cette belle addition. Blasée. Envie de renouveau. Et on prétend équilibrer le tout en lisant des livres (La cantatrice chauve, Eugénie Grandet) et en allant voir des expositions (expo Vogue, collection permanante de Beaubourg, expo rock&roll de la Fondation Cartier). C'est beau d'essayer de se persuader... en vain.
Prions pour un lendemain plus novateur.

vendredi 20 juillet 2007

MEANING.

"Souffrez qu'Amour cette nuit vous réveille ;
Par mes soupirs laissez-vous enflammer ;
Vous dormez trop, adorable merveille,
Car c'est dormir que de ne point aimer."

J'ai lu ce poème dans le métro, je ne sais plus trop quand, il y a quelques semaines, avant ou après le BAC. Et je l'ai retrouvé sur Internet, mon allié préféré. La dernière phrase m'a semblée, tellement, tellement vraie. Perturbant. Sidérant. L'amour, ne serait ce pas plutôt de contempler l'objet de notre affection, fasciné, émerveillé, ému de sa présence ? Dormir profondément, étant synonyme, je crois, d'indifférence. Et tout un chacun sait que l'indifférence est le contraire de l'amour. La haine n'étant que sa cousine germaine.

Et l'amour, parlons en, où se trouve-t-il ? Dans la beauté d'un regard destructeur ? Dans le rire enfantin d'un être confiant ? Dans l'étreinte chaleureuse ? Ou encore dans un autre "soi" ? Peu importe, du moment que l'exaltation est présente et éternelle.

Et encore une fois, ne faites pas d'amalgame entre amour et fidélité, ce sont deux choses totalement différentes. Votre chien vous sera fidèle, cela ne signifie pas pour autant qu'il vous aime.

Bise.

GOLIGHTLY IT WAS.



"Moon river,
wider than a mile,
I'm crossing you in style someday"...

Audrey Hepburn, Holly Golightly, Diamants sur canapé, Petit déjeuner dans une célèbre bijouterie. Je dois l'avouer, l'intensité avec laquelle est montré le vide dans lequel vit cette douce enfant, terrible plutôt, est captivant, émouvant, profondément futile et trivial à certains moments. Mais l'attachement éprouvé envers Holly grandit de minute en minute, à travers les images d'un luxe mensonger et d'un raffinement, voile d'une piètre vérité qui est en réalité la frustration de mademoiselle Golightly.

A voir, et à revoir. Holly, ma belle, quand enlèveras tu ce masque qui cache ton âme meurtrie ?

20 JUILLET.


Je crois que je ne saurai jamais vivre sans m'exprimer là où tout le monde peut lire les insanités que je déblatère. Alors, voilà, un blog tout [beau ou autre adjectif], tout neuf.

Pour moi, pour vous.

Comme une renaissance.